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Dans un village enneigé de Tchétchénie, Havaa, une fillette de huit ans, regarde, cachée dans les bois, les soldats russes emmener en pleine nuit son père, accusé d’aider les rebelles. De l’autre côte de la rue, Akhmed, son voisin et ami de sa famille, observe lui aussi la scène, craignant le pire pour l’enfant quand les soldats mettent le feu à la maison. Mais quand il trouve Havaa tapie dans la forêt avec une étrange valise bleue, il prend une décision qui va bouleverser leur vie. Il va chercher refuge dans un hôpital abandonné où il ne reste qu’une femme pour soigner les blessés, Sonja Rabina.
Pour Sonja, chirurgienne russe talentueuse et implacable, l’arrivée d’Akhmed et de Havaa est une mauvaise surprise. Exténuée, débordée de travail, elle n’a aucune envie de s’ajouter ce risque et cette charge. Car elle a une bonne raison de se montrer prudente : accueillir ces réfugiés pourrait compromettre le retour de sa sœur disparue. Pourtant, au cours de cinq jours extraordinaires, le monde de Sonja va basculer et révéler l’entrelacs de connexions qui lie le passé de ces trois compagnons improbables et décidera de leur destin.À la fois récit d’un sacrifice et exploration du pouvoir de l’amour en temps de guerre, Une constellation de phénomènes vitaux est surtout une œuvre portée par le souffle profond de la compassion, vers ce qui doit être et ce qui demeure.
Traduit de l’anglais par Dominique Defert
Questions-réponses avec Anthony Marra
Q. Où avez-vous étudié en Russie ? Pourquoi avez-vous voulu vous intéresser à la Tchétchénie ?
A. Au début de mon cursus, j’ai étudié à Saint-Pétersbourg. À cette époque, la correspondante de guerre et activiste des droits de l’homme Anna Politkovskaya venait de se faire assassiner, les vétérans blessés des guerres de Tchétchénie faisaient la manche dans le métro et les gangs attaquaient fréquemment des personnes originaires du Caucase du Nord. Pourtant, en tant qu’Américain, je ne connaissais rien à la Tchétchénie. À l’instant où j’ai commencé à faire des recherches, j’ai été captivé.
Q. L’intrigue de votre roman se déroule pendant les guerres de Tchétchénie. Pourquoi avoir choisi cette période de l’histoire comme toile de fond ?
R. La Tchétchénie demeure mystérieuse pour un grand nombre d’Américains. Pourtant, c’est un pays formidable, tout comme sa population qui est habituée constamment à reconstruire sa vie. Pour citer Tobias Wolff, « nous sommes faits pour persévérer… c’est ainsi que nous découvrons qui nous sommes. » Tour à tour, ces personnages commettent des actes de bravoure, de trahison et de pardon tout en sauvant ce qui leur est le plus cher des horreurs de la guerre : leurs proches, leur honneur, leur intégrité.
Q. Le titre de votre roman n’est pas anodin. Pouvez-vous nous dire d’où il vous est venu ?
R. Un jour, j’ai regardé la définition du mot vie dans un dictionnaire médical, et j’y ai trouvé une explication très poétique : « constellation de phénomènes vitaux : organisation, irritabilité, mouvement, croissance, reproduction, adaptation. » Tout comme la vie est la constellation de ces six phénomènes, le mode de narration de ce roman est structuré à la manière d’un groupe de six points de vue narratifs.
Q. Votre style est unique : vous naviguez constamment entre le présent et le passé. Est-ce un choix assumé ?
R. Bien plus encore. Je souhaitais écrire une œuvre suffisamment vaste pour couvrir les deux guerres de Tchétchénie, sans toutefois mettre de côté l’intrigue et le suspense. En entrelaçant l’histoire d’une fillette poursuivie pendant cinq jours dans une toile de fond plus large, j’ai tenté d’allier la tension d’un thriller à la richesse d’un conte historique. De plus, la navigation entre les époques met en lumière les instants triviaux, les relations et les allégeances qui touchent profondément les personnages tout au long de l’histoire.
Q. Quelle fut la plus grande influence sur votre écriture ?
R. Ma mère avait six frères et sœurs et mon père quatre sœurs : autant dire que nous étions une joyeuse bande de cousins et cousines lors des repas de famille, toujours animés de bruits, d’histoires et de rires. Dès le plus jeune âge, ils m’ont appris que les récits nous aident à mieux nous comprendre, à préserver le passé et à donner un peu de sens au chaos de nos destins.
Meilleur Livre du mois sur Amazon.com (mai 2013) : DansUne constellation de phénomènes vitaux, Anthony Marra nous emmène en Tchétchénie, à l’époque de la seconde guerre. Premier roman de l’auteur, celui-ci nous plonge dans une décennie où la jeune Havaa, âgée de huit ans, voit son père emmené par des soldats russes pour un crime qu’il n’a pas commis. Leur maison incendiée, la fillette trouve refuge auprès de son voisin Akhmed, qui tente de la cacher dans l’hôpital le plus proche. Sonya, la médecin qui dirige l’institution, est d’abord réticente à l’idée d’héberger Havaa, qui représente une charge supplémentaire pour l’hôpital en ruine. Cependant, Akhmed et elle réalisent qu’elle est bien plus qu’une simple vie : elle demeure le peu d’humanité dans un conflit ethnique absurde et injuste. « Une personne ne peut pas comprendre certaines choses, disait Akhmed. Elle a également le devoir moral de ne jamais comprendre certaines autres. » Pourtant, Anthony Marra nous les fait comprendre à la fin de Une constellation de phénomènes vitaux, grâce aux personnages émouvants et à une représentation bouleversante de la Tchétchénie déchirée par la guerre. —Kevin NguyenDans un village enneigé de Tchétchénie, Havaa, une fillette de huit ans, regarde, cachée dans les bois, les soldats russes emmener en pleine nuit son père, accusé d’aider les rebelles. De l’autre côte de la rue, Akhmed, son voisin et ami de sa famille, observe lui aussi la scène, craignant le pire pour l’enfant quand les soldats mettent le feu à la maison. Mais quand il trouve Havaa tapie dans la forêt avec une étrange valise bleue, il prend une décision qui va bouleverser leur vie. Il va chercher refuge dans un hôpital abandonné où il ne reste qu’une femme pour soigner les blessés, Sonja Rabina.
Pour Sonja, chirurgienne russe talentueuse et implacable, l’arrivée d’Akhmed et de Havaa est une mauvaise surprise. Exténuée, débordée de travail, elle n’a aucune envie de s’ajouter ce risque et cette charge. Car elle a une bonne raison de se montrer prudente : accueillir ces réfugiés pourrait compromettre le retour de sa sœur disparue. Pourtant, au cours de cinq jours extraordinaires, le monde de Sonja va basculer et révéler l’entrelacs de connexions qui lie le passé de ces trois compagnons improbables et décidera de leur destin.À la fois récit d’un sacrifice et exploration du pouvoir de l’amour en temps de guerre, Une constellation de phénomènes vitaux est surtout une œuvre portée par le souffle profond de la compassion, vers ce qui doit être et ce qui demeure.
Traduit de l’anglais par Dominique Defert
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Traduit de l’anglais par Dominique Defert
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